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rock you like a hurricane (ft. Valerie)

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Kimiko Miyashiro
ADMIN BOURRIN
c'est que tu frappes pas assez fort

Kimiko Miyashiro


Pronom irl : elle
Pièces d'or : 0
Messages : 30
Univers : The Boys (fin saison 2)
Avatar : Karen Fukuhara
Statut civil : en train de danser avec Frenchie
Métier : casser des gueules pour ta version fucked up de la justice
Monde de résidence : Harlan
J'ai traversé le Léthé depuis : quelques mois
Niveau & vitesse de rp : entre 200 et 1 000 mots (rarement plus), team escargot

   
Tu penches ta tête sur le côté, cachée dans l'ombre. Tu as appris que le meilleur moyen de faire ce que tu fais, c'est dans l'ombre. Ce que tu fais ? Généralement, tu espionnes un peu, tu alimentes ta rage et après tu tues. Pas très glorieux, mais telle est ton destin - tu es une arme, et tu le sais. Tu ne peux pas y échapper. Ce qui coule dans tes veines, c'est ta bénédiction et ta pénitence. En fait, c'est même pas ta bénédiction. Tu remercies juste ce composé V de merde de t'avoir permis de rencontrer Frenchie. Le reste ? Tu aurais aimé rester sur ton île, avec ton frère et tes parents. Ne jamais intégrer un quelconque groupe terroriste, ne jamais subir les expériences et se retrouver enfermée comme un animal. Parce que c'est tout ce qu'ils voient de toi : un animal dangereux. Butcher aussi. Il a eu bon t'accepter, tu l'as vu dans son regard, il te considère pas comme les autres. Mais il ne s'agit pas de Butcher aujourd'hui. Tu as peut-être du sang sur tes mains, mais ta conscience a commencé à te titiller. Bien sûr, il n'a suffit que de quelques mots et un petit regard à Frenchie pour qu'il cède à ta demande. Vous pouvez au moins essayer de faire le bien, et d'une façon moins égoïste que celle de Butcher. Et bordel, le monde d'Harlan a bien besoin d'un coup de main.

T'as suivi toute la branche. L'avantage de Frenchie, c'est qu'il arrive à volontairement se mettre dans des emmerdes pour t'aider. Ce que t'aime un peu moins, c'est quand il se met en danger. Tu lui reconnais qu'au moins, il a appris à te laisser te débrouiller et ne pas t'aider plus que nécessaire, à moins que tu lui demandes. Cette fois, tu lui as demandé de rester tranquille et te laisser faire. Il y a encore trop de choses à apprendre sur ce monde pour que tu risques la vie de la seule personne qui voit en toi quelque chose d'autre qu'un animal, et tu sais que s'il venait à être blessé ou pire, tu serais incontrôlable. Tu serais peut-être même pire que Homelander.

Ici, il ne s'agit pas de Homelander ni de sup, mais du reste de la cruauté humaine. Tu regardes les types qui comptent les armes, et ceux qui comptent le fric. Tu ne reconnais pas les armes, mais dans tout les cas, tu sais que ça pue. Et tu fais l'erreur la plus connu possible, Kimiko. En voulant prendre une photo de ce qui se trame, pour montrer à Frenchie et voir pour la suite, t'oublies de désactiver le putain de flash automatique de ton téléphone. Illuminés, les gars se tournent directement vers toi, arme en main. Sans plus attendre, ils tirent tandis que tu tentes de te planquer. Tu guéris vite, mais t'es seule et tu doutes qu'ils se contenteront de te voir au sol.

Ce qui t'alerte, c'est un cri. Quand tu te tournes pour voir ce qui se passe, tu crois halluciner en voyant des sortes de... lames qui agissent comme les pattes d'un insecte, raccrochés à un bras ? Le sang qui sort de la blessure ne te fait pas douter du fait que c'est très tranchant.Tu profites de la distraction pour t'élancer contre un d'entre eux, que tu tues d'un coup sec à la nuque. Tu fonces vers le suivant, qui te donne un peu plus de fil à retordre, mais c'est tout aussi facile pour toi de lui prendre sa vie.

Les choses n'auraient pas dû se passer comme ça, mais Kimiko, tu es une arme.  Et les armes ne peuvent pas culpabiliser.
Valerie Bakker
Admin

Valerie Bakker


Pronom irl : Elle
Pièces d'or : 0
Messages : 18
Univers : Cyberpunk 2077
Avatar : Rose Leslie
Statut civil : Célibataire
Métier : Mercenaire, Netrunneuse
Monde de résidence : Night City; Harlan
J'ai traversé le Léthé depuis : 3 ans
Niveau & vitesse de rp : Entre 500 & 1000 mots | Le week-end principalement

   

S’il s’agissait de mettre les pieds dans le plat pour se retrouver dans la merde, c’était réussi. Mais c’était quelque chose qu’elle ne pouvait pas laisser passer. Des coups de feu dans un vieux hangar, c’est suspect et elle sait qu’il y a quelque chose de louche. Dans tous les cas il doit y avoir une victime, et ça, la rousse n’est pas prête à laisser passer. Alors oui, ce n’est pas une héroïne, mais si elle peut être utile, elle aidera les personnes du mieux qu’elle peut. C’est qu’elle a appris à ne pas laisser quelqu’un sur le côté après tout ce qu’il s’est passé dans sa vie. V aime chercher les emmerdes, elle aime tabasser un abruti qui le mérite, et elle fait en sorte d’aider les plus démunis bien qu’elle n’ai pas l’âme d’un super héro. Elle se ne sait pas comment les choses ont pu tourner de cette manière, mais la seule chose qu’elle voit c’est cette jeune femme contre tout ces hommes armés. Elle devrait foncer dans le tas, mais elle préfère vite analyser la situation. Elle ne sera pas d’une grande aide si elle finit trouée comme une passoire n’est-ce pas ? Un des gars est isolé, bingo. D’un geste à chacun de ses bras elle sort ses lames mantis. Puis elle tranche l’arme du gars qui pensait probablement passer une journée tranquille à dealer des armes pour le compte de son boss. Le pauvre voit son arme coupée en deux via des épées tranchantes sorties des avants-bras d’une fille tout à fait normale … ou presque. Un monstre qu’elle doit être à ses yeux mais elle s’en fiche. Il hurle comme si un démon l’emportait dans les flammes et ça alerte toute la clique. Si V n’avait que pour but d’aider cette fille sans tuer ces hommes armés, ce n’était pas le cas de la brune qu’elle voit du coin de l'œil tuer l’un d'eux. La rousse avait tué des gens, assez bien même lors de ces missions, eux on aurait dit qu’ils avaient fait ça toute l’heure vie. Elle soupire et elle attrape celui qui tente de s’échapper pour lui planter l’une de ses lames dans le ventre.

Elle les a bien compté, une dizaine, et deux en moins pour l’instant. Un moment de distraction et une balle la touche à la cuisse. Elle douille. Néanmoins cette balle ne l’empêche pas, si ce n’est qu’elle ait envie d’hurler de douleur, de retrouver l’un des assaillants pour lui attraper son arme et le frapper sur le crâne pour l’assommer avec cette même arme. V savait que se mêler des affaires des autres ça allait lui provoquer des soucis, mais elle ne pensait pas que les soucis seraient si gros. Bien qu’elle ai eu l’habitude de se sortir de réelles emmerdes quand elle s’est attaquée au Araska. Les choses vont plutôt vites, deux, trois se carapatent et ne demandent pas leur reste, préférant fuir que de prendre les choses en mains à la mort de ce qui semblait être leur chef. Chef qu’elle ne parvient pas à identifier. Elle espère pouvoir mettre la main dessus pour qu'il ne prenne pas la poudre d'escampette. Qui sait ce qu'il pourrait bien faire maintenant qu'il avait vu le visage des deux jeunes femmes. Finalement, ses yeux cherchent la demoiselle pour qui elle s’est ruée dans le coin et qui elle l’espérait était encore en vie. Après avoir vu un signe de vie de sa part, elle s’approche en boitillant. Tiens, elle avait oublié le coup de la balle ayant traversé sa cuisse en se battant. Très probablement l’adrénaline. Est-ce que tu vas bien ? demande-t-elle aussitôt à la brune.
Kimiko Miyashiro
ADMIN BOURRIN
c'est que tu frappes pas assez fort

Kimiko Miyashiro


Pronom irl : elle
Pièces d'or : 0
Messages : 30
Univers : The Boys (fin saison 2)
Avatar : Karen Fukuhara
Statut civil : en train de danser avec Frenchie
Métier : casser des gueules pour ta version fucked up de la justice
Monde de résidence : Harlan
J'ai traversé le Léthé depuis : quelques mois
Niveau & vitesse de rp : entre 200 et 1 000 mots (rarement plus), team escargot

   
La violence est une réponse si naturelle pour toi. En même temps, sans voix, comment parler ? Comment mettre en garde que tu n'as pas envie de blaguer, pas plus que tu n'as envie de finir couverte de sang ? T'as rien de tout ça, et c'est pas ta langue des signes inventée qui va aider qui que ce soit. Alors comme seul avertissement il ne te reste plus qu'à faire du mal, qu'à faire entendre tes arguments par les coups et le sang. Généralement c'est plutôt Frenchie qui s'assure des négociations, mais ici il n'y a que toi, parce que tu peux pas toujours tout faire à ses côtés, et tu préfères le garder loin de tes pulsions. Il en a déjà trop vu, et tu préfères le protéger que continuer à lui faire voir des choses horribles, même si tu te doutes qu'il sait ce que tu fais. Comment ne pourrait-il pas savoir, lui qui te connait si bien ? Quand il te verra, il saura. Et il pourra pas faire autrement que te regarder avec cet air coupable car l'info de ces cargaisons, tu la tiens de lui. Parce que tu as dit vouloir faire quelque chose de ce composé V qui coule dans tes veines.

Alors le combat commence. Tu ne peux pas te contenter de simplement casser leur nuque, non. Tu les démembres, tu crées une véritable effusion de sang. Tu casses leurs os - les bras ou les jambes, ça dépend de ce qui tombe d'abord devant toi. Y a pas tant de gars, mais leurs armes font mal. Même si tu guéris quasi instantanément, tu sens que les balles font mal, et t'as l'impression de pas recevoir que des balles, en fait. Qu'est-ce qui se trame d'autre à Harlan, bordel ? Plus tu t'y plonges, plus tu vois à quel point ce monde est fucked up. Pourri jusqu'à la moelle. Tu te dis qu'à côté, ton monde c'était pas grand chose. Pourtant y a déjà une certaine dose de connards, mais là ça surpasse ce que tu connais. Tu prends donc un certain plaisir à tuer ces pourritures, par contre tu doutes que la fille qui se joint au combat soit aussi sanguinaire et boostée que toi contre les blessures. Quand il ne reste plus une âme qui vive sauf vous deux, elle vient vers toi. Tu regardes ses lames avec curiosité, sur tes gardes ; mais t'as la gueule éclaboussée de sang qui n'est pas le tien,

Tu hoches la tête positivement à sa question. Limitée dans ta façon de communiquer, tu peux pas tellement lui poser trente questions, alors pointes sa jambe du doigt et tu arques un sourcil, comme pour demander comment elle va. Puis tu désignes du pouce la cargaison d'armes qui se trouve plus ou moins derrière toi, l'intérêt de ta venue. Tu sais pas trop ce qui s'y cache et tu pourras pas non plus lui expliquer, et jusqu'à présent, elle semble être de ton côté. Et si elle ne l'est pas, tu l'espères assez intelligente pour se raviser en voyant les dégâts que t'as causé. Une fois qu'elle te répond, tu te diriges vers la cargaison. Tu te saisis de l'arme la plus lourde, que tu soulèves sans effort, et tu tentes de la décortiquer. C'est pas des balles dedans. C'est quoi ? Argh, en ce moment, il te faudrait Frenchie, il pourrait te décrire l'arme et la portée des dégâts.
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